Le réchauffement climatique, les causes, les répercussions et les solutions

Le 01.03.2023

Le phénomène de réchauffement et changements climatiques est provoqué lorsque les émissions de gaz à effet de serre se multiplient. Ces gaz agissent alors comme une couverture autour de la Terre et finissent par retenir la chaleur du soleil. Aujourd’hui, la Terre se réchauffe plus vite que jamais et on s’interroge même pour savoir si nous sommes arrivées à un point de non retour ou non.
Le GIEC à étudié et à présenté dans différents volets plusieurs solutions pour lutter contre ce phénomène climatique.

Le réchauffement climatique en 4 points

Mais qu’est ce que c’est exactement ?

Le réchauffement climatique, aussi connu sous le nom de “changement climatique“. Il est perçu comme l'augmentation de la température moyenne de la surface terrestre du XXe et XXIe siècles. Celui-ci a été provoqué par de nombreux actes souvent sur le long terme et a créée des répercussions que l’on ne cesse de subir quotidiennement.
Notre planète à déjà connu auparavant certaines périodes de changement climatique, cependant depuis le milieu du XXe siècle les activités humaines ont provoqué des conséquences sans précédent sur le climat et tout son système ce qui ont engendré des changements à l'échelle mondiale.

Les principales causes

On va tout d’abord parlé de la production d’énergie.
Une majorité des émissions mondiales de gaz à effet de serre proviennent de la combustions des énergies fossiles (le charbon, le pétrole et le gaz naturel) qui servent à produire l’électricité et de la chaleur.
Seulement un quart de notre électricité provient des énergies renouvelables.
Le secteur alimentaire représente environ 30 % de la consommation énergétique mondiale et près de 22 % des gaz à effet de serre.
En France, l’énergie est utilisée à :

42 % pour la chaleur
30 % pour le transport
28 % pour l’électricité
Ensuite un autre point à aborder est la production industrielle.

La consommation et la production mondiales qui sont de réels moteurs de l’économie mondiale, disposent des ressources naturelles d’une certaine manière qui provoquent des des effets destructeurs sur la planète.
Si la population mondiale atteint 9,6 milliards de personnes d’ici à 2050, l’équivalent de près de trois planètes pourrait être nécessaire afin de fournir les ressources nécessaires pour maintenir les modes de vie actuels.

Parlons à présent de l’utilisation des transports. La plupart des véhicules (voitures, camions, bateaux et avions) fonctionnent encore grâce à des carburant qui utilisent les énergies fossiles.
Par conséquent, les transports contribuent en masse à la production de gaz à effet de serre.
Les véhicules routiers sont responsables de la majeure partie de ces émissions, mais celles des navires et des avions ne cessent de croître.
La diminution des gaz à effet de serre et de la pollution atmosphérique fait partie des objectifs du programme du PNUE Partageons la route (Share the Road), qui encourage la marche et la pratique du vélo.

Concernant la production alimentaire, chaque année, on estime qu’environ un tiers de tous les aliments produits (approximativement 1,3 milliard de tonnes), finissent jetés et décomposés chez les consommateurs ou les détaillants. La principale cause est la mauvaise pratique de transport et des récolte. En 2020, 811 millions de personnes dans le monde ont souffert de la faim, soit 161 millions de plus qu’en 2019.
Jusqu’à 10 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre sont associées aux denrées non consommées.
Les systèmes de production, de conditionnement et de distribution des denrées alimentaires génèrent à eux seul un tiers des émissions de gaz à effet de serre dans le monde et sont à l’origine de 80 % de l’appauvrissement de la biodiversité, des données qui restent plus qu’alarmantes.
Si l’on n’intervient pas rapidement, les émissions liées au système alimentaire augmenteront probablement de près de 40 % d’ici à 2050, en tenant compte de la demande croissante de la population, de l’augmentation des revenus et de l’évolution des régimes alimentaires.

La pollution de l’alimentation des bâtiments quant à elle concerne surtout le secteur de la fourniture d’énergie (électricité, chaleur et autres énergies).
Il est considéré comme le plus grand contributeur aux émissions mondiales de gaz à effet de serre, il est responsable à lui seul d’environ 35 % des émissions totales.
À l'échelle mondiale, les bâtiments résidentiels et commerciaux consomment plus de la moitié de l'électricité.

Selon ONU-Habitat, les villes comptent pour 78 % de la consommation énergétique mondiale et produisent plus de 60 % des émissions de gaz à effet de serre.
Pourtant, elles représentent moins de 2 % de la surface de la Terre, une différence qui intrigue.

Comment parler les causes du réchauffement climatiques sans parler de la : surconsommation.
La production de vêtements, produits esthétiques, denrées alimentaires , d’appareils électroniques et les matières plastiques etc sont elles aussi majoritairement produites part des énergies fossiles qui sont malheureusement trop utilisées et connues pour être trop polluantes.
Même consommer en soit provoque une importante pollution, puisque les emballages des produits achetés finissent à la poubelle. On ajoute à cela, les déchets lors de la production par les entreprises le fait de se déplacer à bord d'un véhicule pour aller consommer et le transport même du produit



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Les répercussions engendrées

Depuis près d’un siècle la planète nous fait subir de mauvais choix via le réchauffement climatique et tout ce qu’il provoque. Si la population mondiale atteint 9,6 milliards de personnes d’ici à 2050, l’équivalent de près de trois planètes pourrait être nécessaire pour fournir les ressources nécessaires pour maintenir les modes de vie actuels.
Il faut "préparer notre pays à 4 °C" de réchauffement climatique, prévient le ministre de la Transition écologique 22/02/2023.

Le ministre affirme qu'il faut non seulement une stratégie "d'atténuation" en "diminuant les gaz à effet de serre" mais aussi "se préparer au pire". "On est déjà à 1,7°C d'augmentation des températures" en France et les experts du GIEC "nous disent qu'on n'est pas dans la bonne trajectoire“.
Plus d’1 milliard de personnes n’ont pas accès à l’eau potable. L’eau est une ressource gratuite mais les infrastructures nécessaires à son acheminement coûtent cher.
En octobre 2018, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a fait savoir dans un rapport que 93 % des enfants du monde sont exposés à une atmosphère toxique au quotidien. Selon ce rapport, 1,8 milliard d’enfants respirent un air tellement pollué que leur santé et leur développement sont menacés. L’OMS estime qu’en 2016, 600 000 enfants sont morts d’infections aiguës des voies respiratoires basses dues à la pollution de l’air.
Tous les ans, le monde perd 10 millions d’hectares de forêt (environ la surface de l’Islande).
Les émissions provenant de la climatisation et de la réfrigération devraient augmenter de 90 % d’ici 2050 par rapport aux niveaux de 2017.
Le réchauffement climatique à aussi eu un impact considérable sur la fonte des glaces qui ont à leur tour provoqué une montée des eaux. En 2050, ce seraient 15 centimètres de plus, dans le scénario intermédiaire du GIEC où la température moyenne à la surface du globe aurait augmenté de 2 degrés par rapport à l'ère préindustrielle.
En quelques points, voici les domaines que le réchauffement climatique a affecté :

- Hausse des températures
- Accroissement de la gravité des tempêtes
- Accroissement des sécheresses
- Réchauffement et montée des océans
- Perte de biodiversité
- Pénurie alimentaire
- Augmentation des risques pour la santé
- Pauvreté et déplacement

Les solutions et objectifs

Nous pouvons tous quotidiennement contribuer à la réduction du réchauffement climatique grâce à plusieurs actions simples :
- Diminuer sa consommation de chauffage
- Parcourir moins de kilomètres en voiture
- Éviter l'avion
- Manger plus de légumes et moins de viande
- Adopter le zéro déchet
- Acheter moins de choses et les garder longtemps
- Passer aux énergies renouvelables
- Économiser l’énergie à la maison
- Se déplacer à pied, à vélo ou en transports en commun
- Consommer plus d’aliments d’origine végétale
En débranchant vos appareils électroniques et électroménagers lorsque vous ne les utilisez pas, vous pouvez économiser de l’énergie et de l’argent tout en réduisant votre empreinte carbone.
Face à l'urgence climatique, la France s'engage à inscrire dans la loi l'objectif ambitieux de neutralité carbone, soit zéro émission nette à l'horizon 2050. Pour cela plusieurs domaines sont impactés notamment celui des transports.TaxyMatch vous propose un article pour vous faciliter le choix pour trouver un véhicule respectueux de l’environnement.
D’ici à 2030 on envisage de parvenir à trouver une gestion durable et une utilisation rationnelle des ressources naturelles pour minimiser et dans l’objectif stopper totalement l’utilisation des ressources fossiles.
En débranchant vos appareils électroniques et électroménagers lorsqu’ils ne sont pas utilisés, vous pouvez économiser de l’énergie et de l’argent tout en réduisant votre empreinte carbone. Comme quoi, rien de compliqué pour faire du bénéfice !
Les énergies renouvelables existent grâce au soleil, au vent, à la chaleur de la terre, aux chutes d’eau, aux marées… Toutes les ressources naturelles quasi infinies en font parties.

Elles permettent de produire de l’électricité, de la chaleur, du froid, du gaz, du carburant, du combustible, tout ce dont l’humain a besoin pour son quotidien. Ces sources d’énergie, considérées comme inépuisables à l’échelle du temps humain, n’engendrent pas ou peu de déchets ou d’émissions polluantes. Elles se distinguent des énergies fossiles, polluantes et dont les stocks diminuent.
Le passage à des sources d’énergie renouvelables signifie également moins de pollution et de nouveaux et meilleurs emplois.

Il existe 5 grandes familles d’énergies renouvelables :
- énergie éolienne
- énergie solaire
- biomasse
- énergie hydraulique
- géothermie
Pour limiter les dégâts sur l’environnement causés par notre alimentation, il existe des types d’élevage qui respectent davantage l’environnement grâce à leurs méthodes. Notamment en améliorant l’alimentation du bétail qui permet de réduire les émissions de méthane, qui fait parti des gaz à effet de serre (très polluant).

Selon le GIEC différentes actions peuvent être mises en place pour réduire tous ensemble le réchauffement climatique.

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